Coaching Andante

Le Coaching

Le coaching est pour nous :


Les différents coachings

Le coaching individuel :

  • D’orientation
  • De performance
  • Stratégique

Le coaching collectif :

  • De cohésion et de régulation
  • Des conflits

  • Une facilitation à l’évaluation, à un accompagnement au diagnostic, à une expertise des influences et des interactions qui contribuent à la performance ou à l’échec.
  • Une interaction entre le coach et le coaché qui « fait le coaching », c’est une co-construction. Elle se fait à travers différents regards portés, des écoutes, différents types de questionnements en interpellant les allants de soi et les a priori, différents types d’accompagnement, de questionnements s’adressant à différentes parties de l’individu et adaptés au moment présent.
  • Un accompagnement de personnes ou d'équipes pour le développement de leurs potentiels, de leurs savoir-être et de leurs savoir-faire dans le cadre d'objectifs sportifs, professionnels ou personnels tout en respectant l’éthique et l’écologie de la personne ou de l’équipe.
  • Une rencontre d’autres points de vue permettant l’accès à plus d’informations à plus de choix et enfin à certains changements.

Le coaching s’appuie sur :

  • L’interaction coach-coaché pour favoriser l’émergence, la mise au jour d’informations
  • L’ouverture ou la reconnaissance
    • De nouvelles représentations,
    • De différentes lectures des problématiques,
    • D'autres perceptions
    • De ressources du coaché.

Notre coaching soutien l’émancipation en favorisant une meilleure connaissance de soi, des autres et des processus en jeu.

Il permet de faire émerger le sens d’un parcours ou d’un devenir. Le coaché peut apprendre à développer une action plus adaptée au contexte, à développer sa singularité et sa créativité. Il peut ainsi mieux performer, cheminer vers sa « performance humaine ».

L’imperfection, l’incertitude, les échecs, les problématiques, les défauts et les traumatismes font partie intégrante de la vie et de notre humanité. Le coaching propose d’aborder ces aspects non pas comme des ennemis mais dans la dialogique, c’est à dire en reliant ce qui paraît opposé ou paradoxal pour prendre appui et accéder à un apprentissage, à un développement.

Lors du coaching, il y a une alternance de type d’accompagnement :

  • Des phases d’analyse, de hiérarchisation, d’organisation, de sélection, de questionnement spécifique ; et
  • Des phases de tâtonnement, d’ouverture, d’élargissement, de synthèse, de mise au jour de processus, de facilitation, d’écoute, de créativité et de modélisation, d’action et de développement. Ces phases sont induites grâce à des méthodes d’accompagnement qui font appel aux interactions entre différentes parties du cerveau et du corps. Ces méthodes privilégient un dialogue entre nos parties conscientes et inconscientes, ce sont entre autres « Le Clean Coaching » et « A.M.O.R ».

Sortir de la simplification pour accéder au vivant, c’est choisir l’alternance des points de vue, c’est choisir le contre point, traverser les apparences tout en les reconnaissant, c’est choisir la simplicité et la complexité, la séparation et la non séparation…

La solution côtoie le problème, la demande est toujours une vraie demande et en même temps elle cache souvent une autre demande, un objectif peut être un problème ou cacher un autre objectif etc. Une crise, un déséquilibre ou un désordre précède souvent le changement et la créativité…


« La condition humaine est marquée par deux grandes incertitudes : l’incertitude cognitive et l’incertitude historique. Il y a dans la connaissance trois principes d’incertitude :

- le premier est cérébral : la connaissance n’est jamais un reflet du réel, mais toujours traduction et reconstruction, c’est-à-dire comportant risque d’erreur ;

- le second est psychique : la connaissance des faits est toujours tributaire de l’interprétation ;

- le troisième est épistémologique : il découle de la crise des fondements de certitude en philosophie (à partir de Nietzsche) puis en science (à partir de Bachelard et Popper).

Connaître et penser, ce n’est pas arriver à une vérité absolument certaine, c’est dialoguer avec l’incertitude. ».

Edgar Morin ; extrait de La tête bien faite : Penser la réforme, réformer la pensée, Editions Seuil